Le fer à cheval a une utilisation très courante. En effet, il apparait évident qu’un équidé doit avoir ses sabots équipés. Mais peu de gens connaissent vraiment le rôle exact de cet élément pourtant indispensable
Une pratique qui remonte à l’antiquité
A partir du moment où l’homme à commencé à utiliser la force chevaline pour se déplacer ou travailler, il a très vite mis en place cette pratique. En effet, il s’agit avant tout de protéger l’équidé pour prolonger sa durée de vie. En effet, l’animal vivait auparavant dans la nature sans contrainte Aussi son utilisation forcée provoque des contraintes supplémentaires sur ses pieds. De ce fait, les grecs et les romains ont rapidement compris la nécessité d’utiliser une protection sur le sabot. A cette époque, ils n’utilisaient pas encore le fer à cheval mais des morceaux de cuir découpés. Évidemment, la résistance de ce matériau ne suffisait pas à une utilisation prolongée. Il fallut attendre les premiers siècle de l’ère chrétienne pour que les celtes utilisent le métal à cet effet. Néanmoins il apparait difficile de dater avec précision l’invention du fer à cheval.
Protéger les sabots
Les sabots d’un cheval n’ont pour vocation à travailler aussi longtemps sur des sols aussi dur que du pavé par exemple. Le développement des cités au Moyen Age et l’accroissement des distances de déplacement ont peu à peu accru les déplacements à chevaux. Il fallait pouvoir se déplacer parfois sur de très longues distances. Cette nécessité ne devait pas causer de douleur à l’animal. Comme le rappelle l’adage populaire, pour voyager loin il faut ménager sa monture. Ainsi le fer à cheval a permis de résoudre cette question. En effet, lors d’un trajet équestre de petites pierres peuvent se loger dans les sabots blesser l’animal. Ainsi le fer à cheval protège et évite qu’un abcès se forme. Bien souvent, on utilise du fer comme métal. En effet, cet objet porte bien son nom. Aussi certains étalons de course ont une protection plus légère en aluminium.
Des chevaux non ferrés
Ferrer son cheval ne se présente pas comme une obligation. En effet, cela n’existait pas quand les premiers hommes ont connu l’équitation. Aussi il semble que cela n’apparaisse pas indispensable. L’absence de ferrage se justifie dans certains cas. Si un cheval n’a pas connu le ferrage à sa jeunesse, il apparait difficile de changer par la suite. En effet, marcher ou galoper avec un fer à cheval nécessite un temps d’adaptation incompressible. De la même façon, enlever cette protection à l’équidé implique plusieurs mois pour que ses pieds se reconstruisent. Tout apparait possible selon l’activité et l’intensité de celle-ci. En effet, un cheval sauvage ne travaille pas de façon intensive qu’un équidé avec son propriétaire. Il n’a aussi personne pour prendre soin de lui. Enfin, la dernière utilité et non des moindres du fer à cheval consiste tout simplement à porter bonheur !
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