Comment bien choisir son parquet ?

Dernière modification le 17 novembre 2024


Tout le monde a envie d’avoir un beau parquet chez soi. Aussi le moment de choisir apparait souvent comme un véritable dilemme. Comme toujours il faut bien réfléchir pour éviter les déconvenues.

S’agit-il d’un espace à fort passage ?

Saviez-vous qu’il existe plusieurs catégories de parquet ? Ces différents niveaux permettent de déterminer le niveau de résistance de la couche d’usure. Cela ne sert à rien de surdimensionner. Le niveau étiqueté 21 satisfait les zones peu fréquentées. En effet, on marche peu dans les chambres par exemple. Cela ne correspond à une zone de fort passage. Aussi une couche d’usure plus modeste suffit. Le parquet classé 22 correspond à une zone d’usage domestique général. Il apparait bon de choisir celui-ci pour un hall d’entrée ou un séjour à la maison. En effet, il s’agit des pièces de vie qui connaissent le plus de passage. Enfin la catégorie 23 caractérise un usage intensif voir professionnel. Une pièce accueillant du public connaitra une très forte sollicitation. On comprend aisément qu’il faut choisir un équipement spécifique pour ce type d’usage. Enfin en cas de doute, il s’agit de rester prudent et d’opter pour la catégorie la plus élevée.

Le choix du motif

Prenons l’exemple d’une cuisine. Typiquement cette pièce se destine à connaître beaucoup de salissures. Après avoir cuisiné, il faudra certainement et régulièrement nettoyer le sol avec une serpillère. Ainsi un parquet au motif texturé naturellement permettra de masquer temporairement ces quelques taches. On peut aussi choisir d’appliquer une huile de finition ou un vernis de protection après la pose. Cela facilite grandement l’entretien au quotidien par la suite. Ce type de revêtement a pour avantage de prévenir les rayures malencontreuses. Dans le cas d’un parquet massif, on peut facilement poncer puis recouvrir le bois le revêtement initial. Aussi selon l’essence du bois doit correspondre au degré d’humidité de la pièce comme une salle de bain. Le teck ou le chêne ont une grande stabilité. Choisir de jointer le support avec un mastic permet d’améliorer l’étanchéité. Avec le temps, cela évite l’effet désastreux du pont de bateau qui gondole.

Vérifier le support de pose

Si vous intégrer un logement neuf, il n’y a pas de problème. Une chape de béton permet de supporter une grande épaisseur de parquet. On peut alors coller les lames directement ou effectuer une pose flottante. Si le sol comporte du carrelage, il faut revoir sa copie vers une plus faible épaisseur. Cela permet d’épouser plus facilement la forme du sol. Néanmoins il faut auparavant soigneusement dégraisser le sol au préalable. On peut aussi effectuer la même opération avec un parquet faible épaisseur sur une moquette ou un sol vinyle. Si vous partez dans l’idée de faire une pose flottante, une sous-couche isolante phonique permet de mieux absorber les perturbations phoniques. Enfin si votre système de chauffage se fait par le sol, il faut prendre quelques précautions supplémentaires. Il faut que votre revêtement possède cette comptabilité thermique. La solution consiste à choisir une pose avec de la colle.

Si vous vous intéressez à l’aménagement de votre maison, connaissez-vous la différence entre une chêneau et une gouttière ?

Enfin vous trouverez ici le poseur de parquet le plus proche de chez vous.

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À propos de l’auteur

Marco fait partie de l'équipe de téléphone depuis ses débuts en 2015.
Passionné de sport, il aime aussi les bons restos et les sorties entre ami.