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Découvrez l’invention méconnue de la tronçonneuse

Couper un arbre ou une branche gênante s’avère un jeu d’enfant avec une tronçonneuse. Les spécialistes du jardin et du bricolage ont tous le même avis. Mais connaissez-vous l’origine de cet accessoire devenu un outil incontournable ?

Une origine médicale

Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’invention de la première tronçonneuse remonte au XVIIIème siècle par 2 médecins accoucheurs écossais. En effet, John Aitken et James Jeffray avaient pour objectif de faciliter les naissances difficiles à cause d’un diamètre pelvien de la mère trop étroit. Aujourd’hui on pratique une césarienne dans ce genre de situation. Il s’agit de faciliter le passage du bébé. Ainsi l’outil rudimentaire permettait de sectionner la jonction des os du pubis. Évidemment, il ne s’agit d’un tronçonneuse de boucher ! Mais l’idée d’utiliser une chaîne courant et rotative avait vu le jour. En effet, il s’agissait de dents coupantes reliées par des maillons. Le chirurgien enroulait la chaine autour de l’os pour pouvoir y faire un mouvement d’aller et retour. Cela aboutissait à la section de cette partie osseuse. Cette ustensile rudimentaire a connu bien des évolutions depuis. Son efficacité a fait son succès dans le monde médical.

Jardinage et bûcheronnage

On raconte qu’un bûcheron aurait repris l’idée du médecin après l’accouchement de sa femme. Celui-ci déposa un brevet au XXème siècle pour protéger le concept de la scie à chaine sans fin. Ainsi la question se pose de savoir qui a apporté la plus grande contribution à tronçonneuse de jardin ? L’allemand Andreas Stihl a très largement démocratisé et massifié cet outil durant le XXème siècle. Il laisse aujourd’hui son nom à une marque de renom en matière d’outils professionnels. Son invention fonctionnait avec un moteur à gasoil. Emil Lerp, un autre ingénieur allemand mis au point un autre modèle avec un moteur à essence. Or cette version connut le plus de succès et gagna le marché. Depuis la tronçonneuse a connu bien des évolutions et des versions. Cela a permis de faciliter grandement l’ensemble des opérations d’abattage, d’élagage et de débitage des bois.

De multiples évolutions

Le temps passe et apporte avec lui ses contributions industrielles et technologiques. Cela a permis de rendre la tronçonneuse plus légère et plus efficace. Les hommes ont démultiplié la force de leur bras par celle de la machine. Pendant longtemps le bois de chauffage représentait l’unique combustible de l’homme. La combustion du bois a permis d’alimenter les forges pour le métal. Aussi bien sans la découverte et l’utilisation du charbon, on estime que les forêts auraient totalement disparu en Europe. Plus tard, la découverte du pétrole et du moteur à explosion accéléra le développement de l’activité humaine. L’histoire de la tronçonneuse taquine celle de l’humanité. En effet, cet outil fonctionne avec un moteur à essence pour permettre d’utiliser une énergie plus ancienne : la biomasse. Ainsi l’histoire apparaît comme un éternel recommencement. Mais surtout on ne peut que se réjouir de la capacité de l’homme à créer et se renouveler.

Si vous aimez le bricolage, cet article pour bien choisir un escabeau va vous plaire.

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Comment l’huile de lin protège le bois

Saviez-vous que l’on utilisait jadis l’huile de lin pour momifier la dépouille des pharaons ? A la lumière de cette anecdote, on comprend plus aisément pourquoi cet extrait naturel permet de ralentir le vieillissement.

Quand l’utiliser ?

On extrait l’huile de lin des graines de la plante à la fin de l’été. Aussi cette particularité lui confère une couleur jaunâtre. Ainsi cela permet naturellement de protéger contre le rayonnement UV. Mais il ne fonce pas trop la couleur initiale. Il s’agit d’un corps gras totalement écologique. Il pénètre très bien dans le bois. Et il s’agit de saturer les veines en déposant abondamment du liquide. Par la suite l’huile de lin laisse un dépôt à la fois brillant et protégeant. Cela facilite l’entretien par la suite. Aussi on peut l’utiliser pour traiter les sols carrelés avec des éléments traditionnels tels que les terres cuites ou l’ardoise. Cette substance dont les propriétés restent encore mystérieuses a traversé les âges. En effet, on peut l’employer pour de multiples usages. Mais il s’avère opportun de rajouter un siccatif pour faciliter le séchage et le durcissement.

Quelques caractéristiques

En opposition aux lasures, l’huile de lin ne laisse pas de couche superficielle sur le bois. Aussi on profite du contact direct avec le bois. Les amoureux du toucher simple et naturel apprécieront ce retour à l’essentiel. Aussi, un léger ponçage permet de redonner de l’éclat. Ensuite il suffit d’appliquer la même substance. L’aspect final se présente de façon satinée. Mais surtout ce corps gras imperméabilise durablement dans le temps. Aussi la texture souple s’adapte à tous les types de support. L’huile de lin rentre en profondeur dans les veines du bois. Aussi il s’agit d’une protection profonde. Cette substance naturelle s’avère peu odorante. Au contraire, les effluves caressent agréablement les narines. Il faut peu de temps pour le séchage se fasse. En moins d’une journée, vous pourrez profitez du veinage boisé. Enfin l’application se fait dans l’abondance en plein air. Cela ne nécessite pas de dispositif particulier.

Précautions d’application et d’entretien

Il ne faut pas hésiter à appliquer abondamment plusieurs couches. On peut utiliser tout type de pinceau. Un pinceau épais a bien des avantages. Mais l’application au rouleau n’a pas la meilleure efficacité. Il faut attendre 24h entre 2 couches. Puis un séchage à coeur nécessite véritablement près d’une semaine. Dans la durée, vous pouvez réajustez l’application de l’huile de lin chaque année par exemple selon le besoin. Le nettoyage quotidien se fait simplement avec un chiffon humide si nécessaire. Dans le cas d’un meuble, vous pouvez rajouter du savon tout simplement. Mais pour les bois trop souvent exposés à l’humidité, l’huile de lin peut accéder le noircissement. En effet, certains éléments vivants se nourrissent des acides gras et prolifèrent. Ils dégradent alors cette protection naturelle. Enfin cet extrait naturel ne convient pas au teck. Sous un aspect environnement, nous vous encourageons à toujours privilégier les liquides sans additif.

Si vous vous intéressez au bricolage, notre article sur les chaudières à granules va vous intéresser.

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Top des outils indispensables pour réparer son vélo

Pour pouvoir chevaucher votre vélo en toute sérénité, il apparait essentiel de bien l’entretenir. Aussi si vous ne voulez pas vous ruiner chez un pro, il faut vous équiper avec les bons outils. Voici ce top des outils que tout cycliste qui se respecte doit avoir chez lui.

1) Un lot de démonte-pneus

outils véloAussi anodins qu’il y paraissent des démonte-pneus peuvent solutionner la panne la plus courante de votre vélo : la crevaison. En effet la sorcière aux dents vertes représente un des pires ennemis du cycliste. Aussi lors d’une sortie malheureuse, vous vous réjouirez d’avoir ces outils dans votre poche.
3 Démontes pneus : 1.59€ chez Alltricks

2) Des clés 6 pans pour toutes les pièces du vélo

Si vous souhaitez changer vos patins, vous aurez besoin de clés allen 4 mm. En effet les tailles 4, 5 et 6 correspondent bien aux usages les plus courants. Si vous avez le choix, optez pour des clés longues qui permettront de serrer plus fort. Enfin, les têtes sphériques de la marque Facom permettent d’atteindre des parties difficiles. Aussi quelque soit votre vélo, un jeu de clés hexagonales apparait incontournable.
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3) Un dérive-chaîne pour vélo

Les cyclistes aguerris savent que casser sa chaîne arrive régulièrement. Aussi nous vous conseillons de toujours partir en vélo avec un dérive-chaîne. En effet, parmi les outils celui-ci ne prend pas beaucoup de place. En cas de cassure, il suffit de raccourcir la chaîne d’un maillon. Ainsi vous pourrez tranquillement rentrer chez vous.
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4) Un pince multiprise pour tous les outils

La pince multiprise permet de se sortir de bien des situations ennuyeuses. En effet parmi tous les outils, seule cette pince propose un écartement réglable. Aussi vous pouvez attraper beaucoup de choses. Les visseries de votre vélo ne vous résisteront plus !
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5) Le démonte cassette et le démonte pédalier

Si vous avez prévu de partir vous faire les jambes dans les Alpes, il apparait opportun de mettre un pignon de 25 ou 27 dents à l’arrière. Aussi le démonte cassette permet d’ajuster soi-même son braquet. Comme pour le démonte cassette, le démonte pédalier dépend de la marque de votre vélo. Aussi ces outils restent très spécifiques.
Clé de pédalier cassette à 9.90€ chez Wiggle à utiliser avec un fouet à chaîne

 

Si vous avez également décidé de mettre les mains dans le cambouis de votre voiture, cet article sur les meilleurs outils pour réparer sa voiture va vous aider.

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