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Comprendre ses habitudes pour en faire une force

Il n’apparaît pas nécessaire de réfléchir pour passer les vitesses de sa voiture. Ainsi programmer son cerveau au gré de ses habitudes permet de développer une force. Fluidifier la réalisation d’actions complexes permet de soulager la vie et s’avère indispensable !

Les habitudes

On se rend même pas compte comment nos habitudes régissent nos vies. On peut même créer des comportements automatiques de manière voulue. Aussi se reprogrammer apparait la clé du développement personnel. Par définition, il s’agit d’une action comportementale exécutée automatiquement et causée par un déclencheur. Cela implique une prise de décision très rapide. Mais gagner en efficacité ne se trouve pas une chose facile. Cela signifie parfois résoudre un conflit intérieur. Tout le monde ne parvient pas à vaincre son surmoi pour découvrir son moi intérieur. Il faut parvenir à penser contre soi même. Une habitude consiste à s’engager dans la recherche d’un objectif éclairé de façon inconsciente. Il peut y avoir de la résistance. Mais comme un sportif qui s’entraine régulièrement, on peut toujours s’améliorer. Cela s’avère très utile pour mettre en place de bonnes choses stratégiques. Alors le temps travaille pour nous.

Identifier sa force intérieure

Une décision consciente ne suffit pas toujours. Il faut dépasser cette couche de la conscience pour livrer au monde la plus belle version de soi-même. Par exemple, un fort caractère aura plus de mal à reconnaître ses erreurs et ses tords. Pour y parvenir il faut développer sa force intérieure. En effet, on dit parfois que le film de notre vie correspond à la projection de notre être intérieur. Il ne devrait pas y avoir de choix par défaut qui résulte du fruit de l’habitude. Pour cela il faut s’appuyer sur ses qualités naturelles. Vous connaissez-vous vraiment ? La véritable connaissance de soi pourrait constituer le travail de toute une vie. On ne se voit jamais. Aussi un exercice très simple consiste à demander à 10 personnes 3 de ses qualités et de ses défauts. En croisant les réponses, vous aurez un résultat intéressant.

S’aider des neurosciences

Les mêmes réponses de votre entourage vont vous aider à y voir plus clair vers la lumière. Les événements de la vie nous empêchent parfois d’entendre sa voix intérieure. On remarque facilement le manque d’espace intérieur quand nous sommes débordés. Dans ces périodes, on avance couvent en utilisant son pilote automatique. Cela met en lumière l’impérieuse nécessité de bien programmer ses habitudes. Avancer en utilisant le système de réussite récompense permet de se motiver plus facilement. Pour se faire, on peut réaliser cet exercice. Il consiste à choisir sa force principale identifier par ses amis. Pour de choisir un signal qui provoque la bonne action. En se permettant une récompense après la réalisation de cette routine. La répétition de cet acte régulièrement permet d’inscrire les choses dans la durée. Un peu comme un bon élève vous allez apprendre votre leçon.

Si cet article va a plu, nous vous conseillons dans la même optique de bien choisir votre bonne résolution.

Enfin, vous trouverez ici le coach le plus proche de chez vous pour vous aider dans votre démarche.

7 étapes pour accepter la mort d’un proche

La mort fait partie de la vie. Tant d’auteurs ont écrit sur le sujet pour nous faire partager leur ressenti et le fruit de leur réflexion. Déjà Socrate avait bien posé les choses avec ce syllogisme : « tous les hommes sont mortels je suis un homme donc je suis mortel ». Mais comment faire pour accepter la mort d’un proche quand nous sommes accablés de tristesse ? En effet, la mort d’un proche nous renvoie à notre propre fragilité. Ainsi il apparait essentiel de comprendre comment le processus de deuil se décompose en plusieurs étapes pour aboutir à la guérison.

1) Le choc émotionnel

Eclair

Le décès d’un proche peut intervenir de 1000 façons différentes : suicide, accident de la route, maladie, vieillesse … La violence des circonstances fragilise notre capacité à accepter la mort. Aussi le moment très précis où vous apprenez la mort heurte votre esprit de plein fouet. Freud a très bien décrit comment la réaction de déni pouvait permettre à l’esprit de se protéger pour ne pas accepter la mort. Cette étape peut durer longtemps parfois.

2) La souffrance

douleur

Puis la prise de conscience apparait pour laisser place à une profonde douleur. Accepter la mort nécessite que mesurer pleinement la réalité de la situation. Aussi à cette étape le deuil peut nous faire culpabiliser. En effet, des parents en deuil souhaiteraient prendre la place de leur enfant perdu. Dans le cas d’un accident de voiture, le chauffeur miraculé qui conduisait le défunt souffrira inévitablement de douleux regrets. Ainsi en comprenant la caractère irréversible de la mort, la souffrance intérieure apparait inéluctable.

3) L’injustice

injustice

Pourquoi ? En effet, la douleur questionne profondément. Aussi nous voulons comprendre le sens de l’inexplicable. Cet état crée un sentiment d’injustice qui ne permet pas à cet instant d’accepter la mort. Les personnes croyantes peuvent avoir le sentiment que Dieu les a abandonné. D’autres personnes athées remettent en cause leur foi dans la vie et dans l’amour tout simplement. On peut trouver qu’il est injuste de perdre un ami généreux ou un parent aimant alors que tant de salops jouissent de la vie. Mais toutes ces réactions colériques font partie d’un déroulement qui permet in fine d’accepter la mort.

4) La compensation pour accepter la mort

Bien souvent lors des obsèques d’une personne décédée d’un cancer, on organise une collecte pour la recherche médicale. Aussi bon nombre de belles actions ont vu le jour suit à des drames humains. En effet, compenser ou sublimer la perte d’un proche permet d’accepter la mort. Mais avant de mettre en œuvre concrètement ces actions, il faut les imaginer. Le deuil provoque une négociation entre notre réalité et l’au-delà pour trouver une solution, un compromis acceptable. Cette étape de discussion intérieure nous permet de compenser le vide causée par la mort.

5) Le chagrin

Cimetière

Après cette étape de deal intérieur, la personne commence à accepter la mort sans avoir la force d’y faire face. Ainsi apparait le chagrin. Cette souffrance intérieure peut conduire à la dépression si l’accompagnement ne suffit pas. Le désespoir envahit le quotidien. Et tout semble fade. En effet les gestes de la vie quotidienne semblent affreusement lourds à effectuer. Aussi accepter la mort provoque des sentiments pesants et des pensées négatives. Accepter la mort constitue un fardeau très lourd à porter. Si la peine perdure trop longtemps, il faut savoir se faire aider par un professionnel.

6) Le relèvement

accepter la mort

Pour Jean-Luc Godard, « une catastrophe c’est la première strophe d’un poème d’amour ». Quelque soit l’atrocité d’une situation, la vie prend toujours le dessus sur la mort. Aussi accepter la mort consiste à sublimer le deuil. Pour certains cela permet de prendre un nouveau départ, de déménager, d’entamer une nouvelle activité professionnelle, de s’ouvrir à de nouveaux projets. Ainsi la création constitue un exutoire, un échappatoire à la déprime et l’enfermement. Si la personne confrontée au deuil a un genou à terre, elle doit se relever ! Bien évidemment, il s’agit d’une reconstruction intérieure. Et la concrétisation de projets tantôt anodins tantôt ambitions cristallise la partie visible.

7) La guérison

soleil

Totalement accepter la mort d’un proche peut prendre du temps. Mais il fait absolument laisser du temps au temps. En effet vouloir griller des étapes ne vous fera que perdre du temps au final. Néanmoins le deuil finira laisser la place à l’espoir dans la vie. La personne regagne de la confiance en elle. Sa vie professionnelle redevient normale. Surtout elle a retrouvé une vie sociale avec son entourage. On considère que la personne a atteint la guérison quand elle a vraiment repris le fil de sa vie avec envie.

Accepter la mort d’un proche constitue indéniablement une épreuve douloureuse. Quelque soit vos croyances personnelles, les pompes funèbres vous faciliteront l’organisation de la cérémonie tout en respectant les volontés du défunt.

Avez vous lu notre article sur le complexe d’œdipe ?

 

Libérez vous des 5 blessures de l’enfance qui bloquent votre vie !

L’enfance détermine indéniablement la vie d’un adulte. Lise Bourbeau dans son très bon livre « les 5 blessures qui nous empêchent d’être soi-même » nous expliquent que des blessures de l’enfance d’ordre émotionnel ont un impact sur notre corps. Aussi il s’agirait de comprendre laquelle de ces 5 blessures de l’enfance nous concerne le plus pour mieux s’en libérer. Nous vous conseillons de lire ce livre pour vous guérir de certains troubles physiques ou psychiques. D’ores et déjà nous proposons une description détaillée des mécanismes liés au rejet, l’humiliation, l’injustice, l’abandon et la trahison.

1) Le rejet

RejetLa blessure de rejet tient son origine avec le parent du même sexe. L’enfant se sent pas le droit d’exister. Par exemple un enfant non désiré comme on dit par accident vivra nécessairement du rejet. A l’âge adulte, le corps de la personne qui souffre des blessures de l’enfance rejetée se présente de façon étiré, étroit, mince et fragmenté. Ses yeux comportent un masque avec une indescriptible impression de peur. Un tel corps ne veut pas prendre trop de place comme le fuyant qui utilise le minimum d’espace. Les blessures de l’enfance rejetée implique un comportement détaché du matériel, perfectionniste et intellectuel. La personne rejetée ne croit pas à son droit d’exister et sa belle valeur.

2) L’humiliation

HumiliationBien souvent la mère blesse par humiliation. Elle couvre trop son enfant et ne lui donne pas la liberté dont il a besoin. L’enfant se sent humilié par le contrôle de ce parent. Les blessures de l’enfance humiliée invite à la honte et à la peur de faire honte. L’individu connait ses besoins essentiels mais ne les écoute pas. Aussi sexualité vécue dans la honte du plaisir a du mal être épanouissante. Le corps de la personne qui souffre des blessures de l’enfance humiliée comporte des rondeurs, une petite taille, des tensions au niveau du cou. Aussi afin de compenser ces blessures, l’enfant a tendance à devenir masochiste. En effet, le masochiste ne réalise tout pour les autres et leur faire sentir que sans lui ils ne peuvent y arriver.

3) Les blessures de l’enfance et l’injustice

InjusticeManquer de justice se vit surtout avec le parent du même sexe. Puis les personnes blessées par injustice deviennent rigides avec le temps. En effet les personnes rigides ont la particularité d’être très exigeantes envers elles-même dans de nombreux domaines. Lorsque les parents deviennent âgés, les enfants qui ont souffert d’injustice trouveront injustes d’avoir cette responsabilité. Puis les rigides reprochent toujours aux autres ce qu’ils font eux-même et qu’ils ne veulent pas voir. Le corps de la personne qui souffre des blessures de l’enfance injustice se caractérise par une petite taille et des fesses serrées. Enfin la personne rigide et perfectionniste se justifie beaucoup en ayant du mal à demander de l’aide.

4) L’abandon

AbandonIl s’agit du parent du sexe opposé qui peut blesser par abandon. Le manque d’affection ou de nourriture en bas âge explique une blessure d’abandon. Souffrir des blessures de l’enfance abandonnée implique un comportement dépendant. L’individu a énormément besoin du soutien des autres pour avancer et se construire. A l’âge adulte, le corps de la personne qui souffre des blessures de l’enfance abandonnée manque de tonus et de vigueur. Les bras semblent trop longs et pendent le long du corps. Les jambes maigres ont du mal à porter le buste. Il faut pardonner au parent pour améliorer les relations avec les autres du même sexe.

5) La trahison

TrahisonLa trahison se rapproche du complexe d’œdipe sous certains aspects. En effet, le parent du sexe opposé provoquent ces blessures de l’enfance. Les blessures de l’enfance trahie ont pour origine le bris de confiance voir la manipulation. L’enfant qui souffre de trahison prend le masque du contrôlant à l’âge adulte. Le contrôlant s’occupe beaucoup des affaires des autres. Comme il se croit plus fort, il prend facilement tout en charge. Le corps de la personne qui souffre des blessures de l’enfance trahie exhibe sa force. Il bombe le torse avec de larges épaules. Néanmoins il ne tient pas ses promesses et ment. Aussi le contrôlant peut facilement devenir séducteur et manipulateur.

Avez vous lu notre article sur le complexe d’œdipe ?